Dans un cas récent, l’Employeur (l’Université d’Ottawa) a omis de remettre une description de tâches à un membre au début du contrat de celui-ci. Par la suite, l’Employeur a non seulement omis de résoudre certains problèmes de droits d’auteur et de propriété intellectuelle, mais a également mis terme à la subvention du membre sans souligner de raison contractuelle justifiant cette décision, et sans faire d’évaluation tel que requis par la Convention collective. Près de quatre mois après le dépôt d’un grief, et quelques semaines après que le Syndicat ait annoncé sont intention d’aller en arbitrage, le SCFP 2626 et le membre ont enfin réussi à s’entendre avec l’Employeur.
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Après avoir déposé un grief contre son supérieur pour harcèlement, un assistant d’enseignement s’est retrouvé à travailler pour un autre superviseur, ce qui constituait une solution partielle au problème. Cependant, l’Employeur a par la suite négligé de payer le membre pour les heures déjà travaillées et, 10 mois plus tard, un autre grief a été déposé à cet effet. Moins de trois semaines après le dépôt de ce grief, l’Employeur a indiqué que le membre recevrait la somme qui lui était due au courant de la semaine à venir. Le problème a donc été résolu sans même une première réunion formelle, ce qui vient souligner que le SCFP 2626 gagne en force dans la résolution de griefs.
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Si vous faites face à des situations difficiles en milieu de travail, ou si vous avez des questions quant à vos droits en tant que travailleurs et travailleuses, contactez-nous ou venez nous voir à nos bureaux (UCU 303) !
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