L’ancienneté est définie comme la première journée d’embauche dans l’unité de négociation et est le seul facteur déterminant la priorité ou la préférence dans le choix de quarts de travail.

L’Université maintient une liste d’ancienneté indiquant la première journée d’embauche de chaque employé·e. Aux mois de janvier, de mai et d’octobre de chaque année, une liste d’ancienneté à jour est transmise à un représentant externe du SCFP et au délégué·e syndical local. Cette liste d’ancienneté est affichée au plus tard au 15 janvier, au 15 mai et au 1er octobre de chaque année, sur le tableau d’affichage des employés ou sur un tableau d’affichage, réservé en tout ou en partie à cet effet, au pavillon aquatique, édifice Montpetit.

L’employé perd son ancienneté et son emploi à l’Université dans les cas suivants :

a) Si l’employée démissionne
b) Si l’employée est congédié·e pour motif fondé et n’est pas réintégré
c) Si l’employée est mis à pied, il conserve cependant son ancienneté accumulée pour une période de douze (12) mois consécutifs en raison de rappel au travail ou réembauche
d) Si l’employée ne travaille plus à l’Université pour une période de douze (12) mois consécutifs, sauf en raison d’un congé de maladie ou d’un accident de travail, justifié par un certificat médical approuvé par le secteur Santé, invalidité et congés, Service des ressources humaines.