L’ancienneté est définie comme la première journée au travail, incluant la formation, dans l’unité de négociation.
L’Université maintient une liste d’ancienneté indiquant la première journée au travail de chaque employé·e. Au mois d’octobre et au mois de juin de chaque année, une liste d’ancienneté à jour est transmise au Syndicat.
L’employé·e perd son ancienneté et son emploi à l’Université lorsque l’employé·e démissionne, est congédiée ou si l’employé·e ne travaille plus à l’Université pour une période de plus qu’une (1) session académique, sauf en raison d’un congé de maladie ou d’un accident de travail, justifié par un certificat médical approuvé par le secteur Santé et mieux-être de l’Université.
Durant la période où l’employé·e est absente du travail tel que stipulé dans l’article 7.3, l’employé·e conserve son ancienneté sans accumulation pour cette période de congé. Un·e employé·e en congé de maternité ou en congé parental continue d’accumuler de l’ancienneté durant son congé.
Dans le cas où deux (2) employé·es ou plus ont la même date d’ancienneté :
– Le pointage de la dernière évaluation de rendement sera utilisé pour déterminer l’ancienneté.
– Lorsque nécessaire ou les pointages de performance sont identiques, l’ancienneté sera alors déterminée par tirage.
Dans ce cas, les noms des employé·e·s avec la même ancienneté et le même pointage de performance seront tirés en présence d’un·e représentant·e du SCFP 2626-03. Le nom de l’employé·e tiré en premier sera considéré comme l’employé·e avec le plus d’ancienneté, et ainsi de suite à l’intérieur de ce groupe, pour la durée de la période contractuelle en cours.